Beauté de la nuit silencieuse que déchire le chant de l'accordéon.
Bonnes gens ne dormez plus ! SORTEZ, DANSEZ, QUITTEZ VOTRE LASSITUDE ! Laissez cette douleur chez vous et amusons-nous !
Et l'accordéon avance. Et le couple épris est pris dans la danse dionysienne !
Rêvons, parlons, chantons, dansons !
Le murmure de la ville s'étend au loin qui disparaît dans la mélodie de l'instrument.
Que nuit n'ait plus de fin ! Qu'accordéon et ritournelle happent le jour à naître !
Lui-même, l'accordéoniste, torse-nu, à la peau effleurée par la lumière, s'impatiente du jour et termine la chanson. Ecartelé dans un espace-temps étrange, il se perd, se rhabille et part.
Bonnes gens ne dormez plus ! SORTEZ, DANSEZ, QUITTEZ VOTRE LASSITUDE ! Laissez cette douleur chez vous et amusons-nous !
Et l'accordéon avance. Et le couple épris est pris dans la danse dionysienne !
Rêvons, parlons, chantons, dansons !
Le murmure de la ville s'étend au loin qui disparaît dans la mélodie de l'instrument.
Que nuit n'ait plus de fin ! Qu'accordéon et ritournelle happent le jour à naître !
Lui-même, l'accordéoniste, torse-nu, à la peau effleurée par la lumière, s'impatiente du jour et termine la chanson. Ecartelé dans un espace-temps étrange, il se perd, se rhabille et part.
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Plus je lis et plus j'apprécie
RépondreSupprimermaintenant j'attend la suite
j'ai l'impression de visiter Berlin
Michel Paulet
Merci Michel ! Heureuse que tu aimes ces petits textes ! Je vais donc poursuivre d'arache-pied !!
RépondreSupprimerBises de Berlin !
Les meilleures choses peut être, ont une fin pour renaître plus tard, augmentées de leur pause...
RépondreSupprimerBisou